dimanche 24 février 2008

Notice explicative

"Si tu reviens j'annule tout" - Nicolas S., à Cécilia (2008).

"Adieu donc ! Fi du plaisir que la crainte peut corrompre" - Rat des champs à Rat des villes (avant).

"Casse toi alors pauvre con" - Nicolas S., à un administré (2008).

"Maman !" - Adolf H., à sa maman (1891).


Qu'à la lecture de la présente, le quidam ne conclue pas que nous le considérons comme un fils de pute, un réceptacle au foutre sarkozyen, un cuistre, un bachibouzouk, un pauvre hère mal baisé, une minuscule chiure de mouche, un caca ambulant, un étendard pathétique de la médiocrité congénitale du brave travailleur, une pauvre quiche neurasthénique puant le résidu de miction postcoïtale, mais qu'au contraire il s'avance avec la sérénité du Sage dans les contrées de l'Inassouvi. Déstructurées phrases n'aime je pas Shoah. Voyelle, voyelle, consonne, voyelle, consonne. Notre projet, collectif, est donc animé par l'ambition, grosse, d'éclairer les masses, connes, de nos lanternes ; et ce sur une série de sujets aussi divers que dispars.


Soit !

Non, dit Pamela, je ne suis pas une fille facile ! Ce propos ad hoc nous indique mutatis mutandis qu'hic et nunc nihil propter (et obstat), car in medio stat virtus, donc tu quoque mi fili, oï.


ATTENTION ! Les propos tenus n'engagent que leurs auteurs respectifs, sauf si ces derniers refusent d'engager leur responsabilité ; dans ce cas précis, les propos tenus n'engagent personne.

PRECISION : SUR LE POINT GODWIN. La comparaison entre l'actualité et des faits historiques avérés peut être valablement utilisée dans le cadre d'une argumentation.


En vertu de quoi, attendu que nous autres, joyeux drilles et autres gais lurons dionysiaques, n'écoutons que la sueur cathartique qui suinte des parois en fleurs des anus adolescents, attendu que le procureur de la République a signalé fort à propos - que la liberté d'autrui étend la mienne à l'infini, attendu que jouissons sans entraves, nous en tirerons les conséquences qui s'imposent en nous retirant de la légalité coutumière bloguesque. En tant que vétérans de 14-18, nous exigeons plus de respect. Ce blog ergonomique vous proposera tout un panel fort alléchant - une occasion à saisir chers lecteurs en ce mois de février où il ne fait pas toujours bon vivre ; aussi pour vous, oui pour vous, nous nous proposons de réunir ici quelques unes des plumes les plus courrues de la Capitale pour vous distraire, instruire, gamahucher, pour deviser autour de sujets comme : les relations garçon-fille, la drogue, musique, bricolage, putasserie, la France tu l'aimes ou tu la quittes.


Pour vous être agréable, nous soutenons la dépénalisation du droit des affaires. Vous dites les terres ; pas un hectare, vous me conduisez à en dire un mot : foutre, en cul de préférence, cul que l'on aura, en eutre, préalablement branlé. Pas de phrase de conclusion.


Your Dog, Atreides, Van Doren, Marquis de Contreculture

1 commentaire:

Garçon Perdu a dit…

"Pour vous être agréable, nous soutenons la dépénalisation du droit des affaires."

Quel talent, tout de même, quel talent !