Expo Louise Bourgeois au centre Pompidou. Jusqu’au 2 juin 2008
(Visite culturelle et atreidesque )
Ses Personnages, verticaux et longilignes indépendants mais multiples sont destinés à être vus en groupe, famille hétéroclite faite de matériaux divers et récupérés.
Ses sculptures explorent une grande variété de matières et de formats, mais qui ont en commun la récurrence de formes organiques, généralement lisses et sphériques, qui pourraient être des appendices sexuels ou bien issu d’un monde où ces références sexuelles seraient celle de l’enfance.
Les Tendres compulsions sont d’une cruauté paroxystique, regard acéré de l'artiste sur ses semblables et sur elle-même.
Les Extrêmes tensions, très grandes gravures, suggèrent la mort, le vieillissement, la servitude du corps, le malaise gagne, tant il est évident que les maux promis sont ceux de chacun. Et la leçon limpide. Qu'est-ce qui protège l'artiste de la disparition qui la guette comme une araignée?
Les traces de crayon, d'encre, de gouache, les dessins, les mots… La cire, le latex, le bois, le marbre, le bronze, les étoffes, le fer, les objets qui deviennent fétiches, autels, abris, reliques dans son univers ludique et torturé, avec une jouissance renouvelée de la forme et des formes qui donnent naissance à des idées, si funèbres ou tragiques soient-elles.
Les Chambres rouges , celle des parents et celle des enfants dégagent une intimité dérangeante.
Les Extrêmes tensions, très grandes gravures, suggèrent la mort, le vieillissement, la servitude du corps, le malaise gagne, tant il est évident que les maux promis sont ceux de chacun. Et la leçon limpide. Qu'est-ce qui protège l'artiste de la disparition qui la guette comme une araignée?
Les traces de crayon, d'encre, de gouache, les dessins, les mots… La cire, le latex, le bois, le marbre, le bronze, les étoffes, le fer, les objets qui deviennent fétiches, autels, abris, reliques dans son univers ludique et torturé, avec une jouissance renouvelée de la forme et des formes qui donnent naissance à des idées, si funèbres ou tragiques soient-elles.
Les Chambres rouges , celle des parents et celle des enfants dégagent une intimité dérangeante.
Les oeuvres de Louise Bourgeois piquent comme des aiguilles armées de liens, dans des poupées-sortilèges reliées au fil de soi et évoquent des étrangetés scabreuses, des bizarreries surréalistes grotesques et vénéneuses, ses installations complexes s'apparentent à des chambres de torture. Des cellules qui cartographient son imaginaire, sa pensée, des prisons et des refuges, des cellules dans tous les sens du terme qui suggèrent la violence ou la claustrophobie.
7 commentaires:
Tout est dit en quelques lignes ! ;)
bonsoir
Vous vous etez permis d'utiliser des clichés de l'exposition Louise BOURGEOIS, je vous informe que l'exposition reste privé que toutes l'exposition fait parti d'un droit de propriété des ayant droit. JE vous pris donc de bien vouloir supprimé l'ensemble des photos que vous avez sur votre blog sous peine de pousuite.
Cordialement
L'association des amis de Louise Bourgeois.
faut se calmer, madame l'association, ya une photo sur un blog perdu là... on va l'enlever, c'est bon, c'est le bonheur ? pour des amis de louise bourgeois vous lui rendez pas service...
Cette photo étant en libre accès sur le net, je me demande comment légalement vous pouvez interdire son apparition, sur un pauvre blog, qui de plus fait un commentaire tout à fait laudatif de cette exposition, êtes vous réellement des amis de Louise Bourgeois^^? Ceci dit, cette illustration va disparaître, puisque je présume ce qui vous intéresse est de recevoir des droits...
Non mais n'importe quoi. N'importe quoi. Cette illustration reste ici.
Toutefois des exceptions existent au droit d'auteur.... tout de même... lorsque l'oeuvre est divulguée, c'est-à-dire que l'auteur ne peut s'opposer à :
la publication d'une citation ou d'une analyse de l'oeuvre, dans la mesure où celle-ci est brève et justifiée par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d'information, de l'œuvre ;
la parodie et la caricature.
Voili/voilou...
ah ben oui c'est vrai. ben remets-la.
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